Actus anarchistes

par CIRA Limousin • le 23 février 2025
Actualité de la librairie

par Animation Publico • le 17 février 2025
Amila , l’ami anar, à Publico le 27 février.
Rencontre à Publico autour de Jean Meckert/Amila ( l’Ami anar ) au travers la réédition illustrée de Le Boucher des Hurlus aux Éditions Ronces
...Nouvelles internationales

par Élisée Personne • le 17 février 2025
Actualité de Radio Libertaire

par Emission Au fil des pages • le 17 février 2025
Chroniques du temps réel

Actualité de Radio Libertaire

par EMISSION JAZZLIB’ • le 17 février 2025
Actualité de Radio Libertaire

par Emission Un classique, s’il vous plaît ! • le 15 février 2025
Nouvelles internationales

par Secrétariat de l’AIT • le 15 février 2025
Anarchie dans le monde

par Shurochka Apogey et Nicolas Pelletier [FA69 • le 15 février 2025
Histoire

par Francis PIAN • le 15 février 2025
> Histoire
Brèves de combat
La LDH et Amnesty International s’inquiètent des mesures de répressions envisagées par l’État
le 9 janvier 2019 | PAR Pat de Botul
En annonçant, lundi soir sur TF1, une future loi durcissant les sanctions contre les casseurs et les manifestations non déclarées, l’exécutif compte augmenter encore le pouvoir des préfets en les autorisant notamment à prononcer des interdictions de manifester contre de potentiels auteurs de troubles. Les représentants de l’État pourront même obliger ces derniers à pointer dans les commissariats ou les gendarmeries. Un fichage qui inquiète au plus haut point la Ligue des droits de l’homme (LDH).
Son président, Malik Salemkour, dénonce « une surenchère sécuritaire et une fuite en avant du gouvernement ». Pour lui, ces mesures visent à confondre les casseurs et les opposants politiques, et menacent directement la liberté de manifester, mais aussi la liberté d’opinion. « Et pas seulement de quelques-uns, mais de tous. » Sans compter qu’en renforçant les pouvoirs des préfets, c’est bel et bien une « police administrative », voire une « police politique » qui s’exercerait. D’autant que si l’État veut stopper les manifestations, « il ferait mieux de répondre d’abord aux demandes sociales qui s’y expriment », juge Malik Salemkour, qui ajoute que, même sans « loi anti-casseurs », les pouvoirs publics disposent déjà de l’arsenal nécessaire pour appréhender les éventuels participants violents.
Amnesty International s’inquiète également : "Si la volonté de réduire le droit de manifester n’est pas nouvelle, les menaces qui pèsent sur ce droit fondamental se font plus pressantes. Amnesty International note même que « depuis l’instauration de l’état d’urgence, un glissement dangereux s’est opéré ». L’organisation non gouvernementale explique que « des stratégies de maintien de l’ordre sont mises en place qui impactent fortement des droits fondamentaux dans l’objectif de prévenir des risques qui pourraient avoir lieu, sans aucune preuve concrète et solide que des événements dangereux pour la nation vont en effet arriver »...
Son président, Malik Salemkour, dénonce « une surenchère sécuritaire et une fuite en avant du gouvernement ». Pour lui, ces mesures visent à confondre les casseurs et les opposants politiques, et menacent directement la liberté de manifester, mais aussi la liberté d’opinion. « Et pas seulement de quelques-uns, mais de tous. » Sans compter qu’en renforçant les pouvoirs des préfets, c’est bel et bien une « police administrative », voire une « police politique » qui s’exercerait. D’autant que si l’État veut stopper les manifestations, « il ferait mieux de répondre d’abord aux demandes sociales qui s’y expriment », juge Malik Salemkour, qui ajoute que, même sans « loi anti-casseurs », les pouvoirs publics disposent déjà de l’arsenal nécessaire pour appréhender les éventuels participants violents.
Amnesty International s’inquiète également : "Si la volonté de réduire le droit de manifester n’est pas nouvelle, les menaces qui pèsent sur ce droit fondamental se font plus pressantes. Amnesty International note même que « depuis l’instauration de l’état d’urgence, un glissement dangereux s’est opéré ». L’organisation non gouvernementale explique que « des stratégies de maintien de l’ordre sont mises en place qui impactent fortement des droits fondamentaux dans l’objectif de prévenir des risques qui pourraient avoir lieu, sans aucune preuve concrète et solide que des événements dangereux pour la nation vont en effet arriver »...
En direct du direct
le 7 janvier 2019 | PAR Bernard
"Je me suis fait gazer avec mon amie, j’ai voulu avancer sur les CRS (...), la colère est montée en moi j’ai mal réagi, mais je me suis défendu."
Un ancien boxeur a pris un CRS comme punching-ball samedi 5.01.
Dans un communiqué publié dimanche, la Fédération française de boxe a dénoncé les "agissements d’une violence extrême" d’un ancien boxeur professionnel. La FFB n’a pas osé utiliser l’évènement pour se faire de la pub :
"Viendez chez nous et vous pourrez apprendre à battre un robocop surprotégé à mains nues !"
Tssss, petits joueurs...
Un ancien boxeur a pris un CRS comme punching-ball samedi 5.01.
Dans un communiqué publié dimanche, la Fédération française de boxe a dénoncé les "agissements d’une violence extrême" d’un ancien boxeur professionnel. La FFB n’a pas osé utiliser l’évènement pour se faire de la pub :
"Viendez chez nous et vous pourrez apprendre à battre un robocop surprotégé à mains nues !"
Tssss, petits joueurs...
Hausser le thon...
le 7 janvier 2019 | PAR bernard
Un thon rouge de 278 kilos s’est vendu samedi 5 janvier la modique somme de 2,7 millions d’euros à Tokyo pour les premières enchères du Nouvel An. 10 000 euros le kilo...
Une bien belle façon de montrer à ceux qui s’achètent un bol de riz à crédit que d’autres leur ont suffisamment voler de fric sur le dos pour oser accorder un prix prohibitif à un poisson qui aurait simplement pu finir en boites pour les restos du cœur.
Enfoiré.e.s !
Une bien belle façon de montrer à ceux qui s’achètent un bol de riz à crédit que d’autres leur ont suffisamment voler de fric sur le dos pour oser accorder un prix prohibitif à un poisson qui aurait simplement pu finir en boites pour les restos du cœur.
Enfoiré.e.s !
"I have a dream"
le 6 janvier 2019 | PAR Bernard
Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a appelé dimanche les Français à se rassembler et à réclamer la fin des violences lors des manifestations des "gilets jaunes", au lendemain d’une journée de mobilisation marquée par de nouveaux heurts.
Naturellement, il parlait des violences policières...
Naturellement, il parlait des violences policières...
Espagne : l’extrême-droite andalouse machiste annonce la couleur
le 6 janvier 2019 | PAR Pat de Botul
Le parti d’extrême droite Vox du Parti populaire (PP, droite) et de Ciudadanos (centre droit), qui espèrent prendre le pouvoir en Andalousie réclame l’abandon d’un programme qui réclame aux deux formations qu’elles renoncent à un point de leur programme qui prévoit de « financer de façon adéquate la lutte contre les violences faites aux femmes ».
Pour la formation d’extrême droite, les mesures contre les violences machistes sont un « djihadisme de genre ». Son président, Santiago Abascal, a dénoncé des « lois idéologiques, qui ne protègent pas la femme et poursuivent l’homme en tant qu’homme ». Considérant qu’il s’agit d’une discrimination contre les hommes, il a demandé que l’on parle plutôt de « violence au sein de la famille »
Ah la sacro-sainte famille, la revoilà !...
Pour la formation d’extrême droite, les mesures contre les violences machistes sont un « djihadisme de genre ». Son président, Santiago Abascal, a dénoncé des « lois idéologiques, qui ne protègent pas la femme et poursuivent l’homme en tant qu’homme ». Considérant qu’il s’agit d’une discrimination contre les hommes, il a demandé que l’on parle plutôt de « violence au sein de la famille »
Ah la sacro-sainte famille, la revoilà !...
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
le 2 janvier 2019 | PAR bernard
AFP, mercredi 02 janvier 2019 à 16h39
Les forces de l’ordre ont dispersé mercredi à coups de gaz lacrymogène à Antananarivo (Madagascar) une manifestation interdite.
Merci à l’AFP pour cette nouvelle qui nous fait encore plus apprécier notre beau pays, notre belle démocratie, notre bon maître.
C’est pas chez nous qu’on verrait une telle répression...
Les forces de l’ordre ont dispersé mercredi à coups de gaz lacrymogène à Antananarivo (Madagascar) une manifestation interdite.
Merci à l’AFP pour cette nouvelle qui nous fait encore plus apprécier notre beau pays, notre belle démocratie, notre bon maître.
C’est pas chez nous qu’on verrait une telle répression...
Bonne année les chômeur.euses !...
le 2 janvier 2019 | PAR Pat de Botul
Alors que le patronat et les syndicats négocient actuellement une nouvelle refonte du régime d’assurance-chômage, un décret qui revoit le barème des sanctions s’appliquant aux chômeurs qui ne respectent pas leurs obligations vient d’être publié au Journal officiel. Il fait partie de la "loi avenir professionnel" votée cet été dont l’idée et consiste à rendre les sanctions "plus cohérentes" mais aussi d’appliquer le programme présidentiel d’Emmanuel Macron qui prévoyait un durcissement des règles en vigueur. Jusqu’à aujourd’hui, ne pas se rendre à un entretien à Pôle emploi pouvait entraîner deux mois de suspension des allocations-chômage quand ne pas justifier d’actes positifs de recherche d’emploi était sanctionné par deux semaines de radiation. Désormais, la non-présentation à un entretien peut être sanctionnée par un mois de suspension. Tout autre manquement important - essentiellement l’incapacité à justifier une recherche d’emploi - entraîne la suppression pure et simple des allocations pendant un mois au premier manquement, pendant deux mois au deuxième et quatre mois au troisième. Selon Le Monde, ce décret est plus dur que le barème présenté initialement par le ministère du Travail en mars 2018 (qui limitait à 15 jours la suspension pour non-présentation à un entretien), ce qui avait déjà agacé les syndicats. La réforme va plus loin : le pouvoir de diminuer les allocations revient désormais à Pôle emploi alors que l’agence ne pouvait auparavant que suspendre des droits, leur réduction étant aux mains des préfets. En outre, le gouvernement Philippe renforce une mesure lancée sous la précédente mandature: la création d’équipes dédiées au contrôle des demandeurs...
appel à ordure
le 28 décembre 2018 | PAR bernard
L’armée syrienne a annoncé vendredi son entrée dans la ville clé de Minbej, dans le nord du pays, peu après un appel à l’aide des forces kurdes qui craignent une offensive de la Turquie dans ce secteur.
L’appel des Unités de protection du peuple (YPG), la principale milice kurde de Syrie, a été lancé quelques jours après l’annonce des États-Unis, leur allié, du retrait des quelque 2.000 militaires étasuniens déployés en Syrie.
Les Kurdes de Syrie, pour ne pas se faire massacrer par Erdogan, appellent à l’aide Bachar El Assad après avoir été abandonnés par Trump... Pauvres Kurdes...
L’appel des Unités de protection du peuple (YPG), la principale milice kurde de Syrie, a été lancé quelques jours après l’annonce des États-Unis, leur allié, du retrait des quelque 2.000 militaires étasuniens déployés en Syrie.
Les Kurdes de Syrie, pour ne pas se faire massacrer par Erdogan, appellent à l’aide Bachar El Assad après avoir été abandonnés par Trump... Pauvres Kurdes...
Et ça continue...
le 27 décembre 2018 | PAR bernard
Des peines allant jusqu’à un an de prison ferme ont été prononcées mercredi à Valence à l’encontre de quatre personnes, dont une militante du PCF, poursuivies pour des violences sur le directeur de la police dans la Drôme lors d’une manifestation des "gilets jaunes".
Combien pour le CRS de Marseille ayant causé la mort d’une femme qui, incommodée par les gaz lacrymogènes, fermait ses volets ?
Combien pour le CRS de Marseille ayant causé la mort d’une femme qui, incommodée par les gaz lacrymogènes, fermait ses volets ?
Le Père-Noël est une ordure
le 24 décembre 2018 | PAR Bernard
Deux hommes, interpellés samedi après des jets de projectiles sur les forces de l’ordre en marge de la manifestation des "gilets jaunes" à Nancy, ont été condamnés ce lundi 24 décembre à un an de prison ferme, selon le parquet.
Et pour le CRS de Marseille ayant causé la mort d’une femme qui, incommodée par les gaz lacrymogènes, fermait ses volets ?
Et pour le CRS de Marseille ayant causé la mort d’une femme qui, incommodée par les gaz lacrymogènes, fermait ses volets ?