Littérature

Actus anarchistes

par Fédération anarchiste • le 25 mai 2024
Actus anarchistes

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Actus anarchistes

par Fédération anarchiste • le 25 mai 2024
Actus anarchistes

par 82ème congrès de la Fédération anarchiste • le 20 mai 2024
Actualité de Radio Libertaire

par Emission Au fil des pages • le 18 mai 2024
Littérature

par Francis PIAN • le 18 mai 2024
Actus anarchistes

Travail social

par Mariama Keita • le 18 mai 2024
Littérature

par Francis PIAN • le 18 mai 2024
Brèves de combat
Risques professionnels
le 25 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Selon le cabinet de conseil en prévention des risques professionnels, malgré les obligations légales qui s’imposent à elles, plus d’un tiers des entreprises de plus de 50 salariés n’assurent pas les règles de sécurité et de santé nécessaires aux employés en CDD, intérimaires et aux sous-traitants.
Suisse : répression de la solidarité aux migrants
le 25 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Alors qu’ils doivent être jugés le 31 mai, deux Suisses ont été interpellés pour avoir fait passer la frontière franco-italienne à une vingtaine de migrants.
Irlande/Sud-Corée : mouvements sur fond d’IVG
le 25 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Alors que l’Irlande se prononce vendredi par référendum sur la l’interruption volontaire de grossesse, la Cour constitutionnelle sud-coréenne se penche aujourd’hui sur l’avenir de la loi nationale qui interdit toujours le recours à l’avortement.
Espagne
le 25 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Débat le 31 mai à 19h00 à Mas Guinardo (2, place Salvador Riera-08041-Barcelone), animé par Manel Aisa (président de l’Athénée Encyclopédique Populaire). Thème : "L’Effervescence sociale des années 20" pour parler et débattre de cette Barcelone de nos aïeux, mais aussi d’aujourd’hui et de demain. Vous pourrez voir les jours précédents l’exposition qui sera ouverte à partir du 24 mai.
> ZADs
Notre-Dame-Des-Landes, la police mutile en toute impunité
le 24 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Après une première vague d’expulsion particulièrement violente sur la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes il y a un mois (+ de 11 000 grenades lancées et plus de 250 blessé-e-s dont plusieurs graves), l’Etat a lancé une deuxième vague il y a quelques jours. Comme on pouvait malheureusement s’y attendre, les violences policières furent encore très fortes, un manifestant a été mutilé en ramassant une grenade offensive qui lui a explosé dans la main. Le pouvoir s’est empressé à grand renfort de relais médiatiques de disculper les « pauvres » forces du désordre en surnombre « lâchement » attaquées par quelques dizaines
de Zadistes. Rappelons que le ministère de l’intérieur a dépêché sur place plus de 15 000 gardes mobiles accompagnés de blindés et d’un hélicoptère pour une dizaine d’expulsions. Le but réel de ces opérations était et est bel et bien de « casser » du Zadiste pour anéantir la résistance sur place et décourager les personnes voulant venir soutenir la lutte. La violence physique comme sociale de l’État s’affiche chaque jour un peu plus, les seuls casseurs sont Macron et sa clique. Il est temps d’organiser la résistance et de passer à l’offensive ! Juste une étincelle noire - Fédération Anarchiste Lyon
de Zadistes. Rappelons que le ministère de l’intérieur a dépêché sur place plus de 15 000 gardes mobiles accompagnés de blindés et d’un hélicoptère pour une dizaine d’expulsions. Le but réel de ces opérations était et est bel et bien de « casser » du Zadiste pour anéantir la résistance sur place et décourager les personnes voulant venir soutenir la lutte. La violence physique comme sociale de l’État s’affiche chaque jour un peu plus, les seuls casseurs sont Macron et sa clique. Il est temps d’organiser la résistance et de passer à l’offensive ! Juste une étincelle noire - Fédération Anarchiste Lyon
> ZADs
NDDL : Mettre des mots sur l’horreur
le 24 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Ne pas céder à la résignation. Au terrorisme d’État. Malgré le stylo qui tremble, écrire. Témoigner. Ne pas se laisser écraser par le concert d’opérations sémantiques, de propagande préventive et de censure qui cherche à nous couper de notre empathie et de la révolte qu’elle devrait spontanément engendrer. Maxime vient de perdre sa main. Sa main droite. Pour toujours. Il rejoint bien plus gravement encore, l’enfer que j’ai vécu durant 9 mois. Le 15 août 2017, à Bure, l’explosion d’une grenade GLI-F4 tirée
par les gendarmes mobiles creusait mon pied gauche sur un diamètre de 13cm et jusqu’à 3cm de profondeur arrachant peau, veines, nerfs, muscles et pulvérisant les os. C’était pendant une manifestation contre le projet Cigéo d’enfouissement de déchets radioactifs à 500m de profondeur. Il y a eu 30 blessés dont 4 graves. Contrairement à ce que leur nom indique, les grenades GLI-F4 contiennent de la TNT et explosent ! Leurs déflagrations font 1 m de diamètre et peuvent tuer si elles touchent une partie vitale. Les appellations de « lacrymogènes » ou d’« assourdissantes » que la préfecture et les ministres leur donnent dans les médias servent à masquer la vérité à leur sujet : CE SONT DES ARMES DE GUERRE ! L’État utilise des armes de guerre pour terrasser le peuple. Dans le cas présent, les conséquences sont bien pires qu’un tir à balle réelle. Déjà, à l’époque, j’avais alerté sur les dangers des grenades explosives en organisant une manifestation pour exiger leur interdiction mais les
grandes chaînes ont cantonné l’information à la région Lorraine. La majorité des français ignore encore la vérité sur ce sujet. Il est tombé près de 4000 grenades explosives sur la ZAD depuis le début de son invasion par les gendarmes mobiles. Provoquant des centaines et des centaines de blessés notamment à cause des éclats de métal qu’elles projettent. Où est la violence ? Maxime est actuellement à l’hôpital. Outre les intenses douleurs et le fort traumatisme qui le suivront nuit et jour, il devra désormais supporter ce handicap inimaginable : vivre avec une seule main. Cette main, que l’explosion lui a arraché sur le coup, l’État lui a volé pour prix de son combat, pour prix de notre combat. Dans les dernières décennies, la militarisation du maintien de l’ordre a fait couler trop de sang. Combien d’éborgnés ? Combien de mutilés ? Combien de vies déchirées par
l’utilisation criminelle des flashballs et des grenades explosives ? La violence de l’État pour mater toute résistance est extrême. Elle cherche à nous terroriser, à nous acculer à la résignation. Face à cela, la solidarité est notre arme et jamais la peur ne doit nous arrêter. Proches, moins proches et tous ceux qui croiseront la route de Maxime, prenez soin de lui ! Tenez bon ! Il y a mille et une manières de lui apporter ce qui lui permettra de vivre. Écoutez-le, cherchez, trouvez ! La vie continue, le combat pour elle aussi. Maxime tiens bon ! Robin est un jeune père de famille blessé grièvement à Bure en Août dernier par une grenade explosive GLI-F4. Il nous a fait parvenir une lettre qu’il a transmis à Maxime, dont la main a été arrachée par une grenade explosive GLI-F4 hier sur la zad. "Il est tombé près de 4000 grenades explosives sur la ZAD depuis le début de son invasion par les gendarmes mobile". Elles avaient déjà fait plusieurs centaines de blessés depuis le début de l’opération. Pour tous témoignages sur ce qu’il a vécu de son côté et sur l’usage de ses grenades dans les opérations de répression d’État et leur
dangerosité, Robin peut être contacté à : robin.pages@free.fr
par les gendarmes mobiles creusait mon pied gauche sur un diamètre de 13cm et jusqu’à 3cm de profondeur arrachant peau, veines, nerfs, muscles et pulvérisant les os. C’était pendant une manifestation contre le projet Cigéo d’enfouissement de déchets radioactifs à 500m de profondeur. Il y a eu 30 blessés dont 4 graves. Contrairement à ce que leur nom indique, les grenades GLI-F4 contiennent de la TNT et explosent ! Leurs déflagrations font 1 m de diamètre et peuvent tuer si elles touchent une partie vitale. Les appellations de « lacrymogènes » ou d’« assourdissantes » que la préfecture et les ministres leur donnent dans les médias servent à masquer la vérité à leur sujet : CE SONT DES ARMES DE GUERRE ! L’État utilise des armes de guerre pour terrasser le peuple. Dans le cas présent, les conséquences sont bien pires qu’un tir à balle réelle. Déjà, à l’époque, j’avais alerté sur les dangers des grenades explosives en organisant une manifestation pour exiger leur interdiction mais les
grandes chaînes ont cantonné l’information à la région Lorraine. La majorité des français ignore encore la vérité sur ce sujet. Il est tombé près de 4000 grenades explosives sur la ZAD depuis le début de son invasion par les gendarmes mobiles. Provoquant des centaines et des centaines de blessés notamment à cause des éclats de métal qu’elles projettent. Où est la violence ? Maxime est actuellement à l’hôpital. Outre les intenses douleurs et le fort traumatisme qui le suivront nuit et jour, il devra désormais supporter ce handicap inimaginable : vivre avec une seule main. Cette main, que l’explosion lui a arraché sur le coup, l’État lui a volé pour prix de son combat, pour prix de notre combat. Dans les dernières décennies, la militarisation du maintien de l’ordre a fait couler trop de sang. Combien d’éborgnés ? Combien de mutilés ? Combien de vies déchirées par
l’utilisation criminelle des flashballs et des grenades explosives ? La violence de l’État pour mater toute résistance est extrême. Elle cherche à nous terroriser, à nous acculer à la résignation. Face à cela, la solidarité est notre arme et jamais la peur ne doit nous arrêter. Proches, moins proches et tous ceux qui croiseront la route de Maxime, prenez soin de lui ! Tenez bon ! Il y a mille et une manières de lui apporter ce qui lui permettra de vivre. Écoutez-le, cherchez, trouvez ! La vie continue, le combat pour elle aussi. Maxime tiens bon ! Robin est un jeune père de famille blessé grièvement à Bure en Août dernier par une grenade explosive GLI-F4. Il nous a fait parvenir une lettre qu’il a transmis à Maxime, dont la main a été arrachée par une grenade explosive GLI-F4 hier sur la zad. "Il est tombé près de 4000 grenades explosives sur la ZAD depuis le début de son invasion par les gendarmes mobile". Elles avaient déjà fait plusieurs centaines de blessés depuis le début de l’opération. Pour tous témoignages sur ce qu’il a vécu de son côté et sur l’usage de ses grenades dans les opérations de répression d’État et leur
dangerosité, Robin peut être contacté à : robin.pages@free.fr
> Histoire
Projection exceptionnelle, à ne pas manquer pour comprendre les enjeux étouffés de la révolution espagnole Le jeudi 7 juin 2018 à 19h
le 24 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Projection exceptionnelle, à ne pas manquer pour comprendre les enjeux étouffés de la révolution espagnole
Le jeudi 7 juin 2018 à 19h suivi d’un débat en présence de : Aimé Marcellan/Angel Carballeira/Francis Pallares (tous trois des cahiers du CTDEE). Paris’Anim ; Centre Place des Fêtes, 2/4 rue des Lilas 75019 Paris, entrée gratuite. L’association 24 août 1944 présente : Printemps 1937, la guerre civile espagnole est à son apogée. L’armée républicaine et les milices des partis et des syndicats, luttent contre les troupes franquistes. À des centaines de kilomètres à l’arrière du front, le gouvernement ordonne l’assaut du Central téléphonique de Barcelone qui est géré par la CNT. Les militants anarchistes (CNT, FAI et Jeunesses Libertaires) et ceux du POUM résistent et une grève générale éclate ; de terribles affrontements ont lieu entre d’une part anarchistes et militants du POUM et d’autre part les forces de police aux ordres du gouvernement républicain et des communistes staliens.
Le jeudi 7 juin 2018 à 19h suivi d’un débat en présence de : Aimé Marcellan/Angel Carballeira/Francis Pallares (tous trois des cahiers du CTDEE). Paris’Anim ; Centre Place des Fêtes, 2/4 rue des Lilas 75019 Paris, entrée gratuite. L’association 24 août 1944 présente : Printemps 1937, la guerre civile espagnole est à son apogée. L’armée républicaine et les milices des partis et des syndicats, luttent contre les troupes franquistes. À des centaines de kilomètres à l’arrière du front, le gouvernement ordonne l’assaut du Central téléphonique de Barcelone qui est géré par la CNT. Les militants anarchistes (CNT, FAI et Jeunesses Libertaires) et ceux du POUM résistent et une grève générale éclate ; de terribles affrontements ont lieu entre d’une part anarchistes et militants du POUM et d’autre part les forces de police aux ordres du gouvernement républicain et des communistes staliens.
Expulsion des camps de migrants à Paris
le 24 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Gérard Colomb, le ministre de l’intérieur a donné consigne au préfet de police de Paris d’organiser une évacuation des campements de la capitale, et critique, dans un communiqué, l’action de la ville de Paris...
Italie
le 24 mai 2018 | PAR Pat de Botul
En Italie, Giuseppe Conte est chargé de former un gouvernement avec des démagogues et des xénophobes...
Manifs du 22 mai
le 23 mai 2018 | PAR Pat de Botul
Des dizaines de milliers de manifestants ont défilé hier un peu partout en France à l’appel d’une intersyndicale au grand complet (CGT, CFDT, FO, Unsa, FSU, Solidaires, CFTC, CFE-CGC et FA). Selon le ministère de l’intérieur, il y avait 139 000 manifestants, dont 16 400 à Paris... A Paris, des incidents dans le cortège ont donné lieu à l’interpellation de 24 personnes. Cent une autres interpellations ont eu lieu après la brève occupation du lycée Arago. Pas mal de monde à Lyon pour la 3eme journée d’action des agents de la fonction public (environ 10 000 personnes) contre macron, ses réformes et son monde, manif assez dynamique, tous les syndicats présents en nombre. La tête de cortège est toujours plus multicolore avec la présence de syndiqué-e-s qui ne se retrouvent plus dans les cortèges traditionnels, la tête de manif s’est même fait déborder par les égoutiers en colère au grand bonheur de tous le monde. A noter une petite attaque en règle pour la second fois sur le parcours d’une boite de strip tease symbole du sexisme ordinaire et de l’exploitation des
femmes. Grosse présence policière que cela soit le long de la manif dans les rues parallèles devant et derrière. A l’arrivée de la manif, la préfecture était surprotéger par les flics en mode "contre insurrectionnel", sur la rive opposée une banderole géante de plusieurs dizaine de mètres a été déployée "Ni loi ORE, ni policiers. Ouvrons l’Université. Précaires en colère !"
femmes. Grosse présence policière que cela soit le long de la manif dans les rues parallèles devant et derrière. A l’arrivée de la manif, la préfecture était surprotéger par les flics en mode "contre insurrectionnel", sur la rive opposée une banderole géante de plusieurs dizaine de mètres a été déployée "Ni loi ORE, ni policiers. Ouvrons l’Université. Précaires en colère !"