Crise du logement pour la CGT

mis en ligne le 12 novembre 2014
C’est sans doute la crise du logement qui avait jusque-là « contraint » le leader de la CGT Thierry Lepaon, à vivre à l’hôtel depuis qu’il s’était installé en région parisienne. Le logement de fonction mis à sa disposition répond aux critères de « proximité de la Confédération, discrétion, calme et sécurité », des critères qui nous satisferaient tous finalement. D’accord, tous, nous n’avons pas les moyens d’engager plus de 100 000 euros de travaux d’aménagements. La CGT, si. Pour Lepaon le problème n’est pas de savoir si cette dépense est justifiée, mais de savoir comment un « tel document a été subtilisé de l’intérieur de la CGT ». Quant au montant des travaux il précise : « S’il y a des failles majeures dans le fonctionnement interne de prises de décisions… c’est donc une faute collective qui ne peut à aucun moment masquer les responsabilités individuelles. » Et de balancer : « une seule personne peut prendre la décision d’une telle dépense sans être tenue d’en référer à priori à nos instances : le trésorier. » Ouf ! Le parapluie est ouvert et Lepaon est à l’abri.