Sauveurs suprêmes, basta

mis en ligne le 27 mai 2015
Ferguson, Baltimore ... La fin du second mandat de Barak Obama commence à sentir le faisandé. Comme quoi l'élection d'un homme de couleur à la présidence ne suffit pas à supprimer le racisme (et encore moins le capitalisme). De la même façon, l'élection hypothétique à sa suite, d'Hilary Clinton, ne supprimera pas le sexisme (et toujours pas le capitalisme). Puis plus tard encore si le peuple américain choisissait une femme, à la peau mat, d'origine hispanique, lesbienne et (soyons fous) handicapée moteur, ça ne serait toujours pas une garantie de suppression du racisme, de la xénophobie, de l'homophobie, des discriminations de toutes sortes (et surtout pas du capitalisme). Plutôt que des sauveurs suprêmes : une révolution sociale et libertaire.