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Arts et Spectacles
par Evelyne Trân le 22 décembre 2019

Spectacles de résistance à découvrir au théâtre

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Deux spectacles qui résistent au théâtre La reine Blanche.

L’ENTRÉE EN RÉSISTANCE. CRÉATION


TEXTE et MISE EN SCÈNE : Jean-Pierre Bodin, Alexandrine Brisson et Christophe Dejours
COMPAGNONNAGE : Jean-Claude Fonkenel et Jean-Louis Hourdin
RÉALISATION, IMAGES & MONTAGE : Alexandrine Brisson / TOURNAGE : Pierre Befve et Alexandrine Brisson / MONTAGE et CONCEPTION VIDÉO : Gyomh / CONSEIL MULTIMÉDIA : Martin Rossi
MUSIQUES : Bach + Mendelssohn + Schubert + Carbon Killer
LUMIÈRES et RÉGIE GÉNÉRALE : Philippe Terrasson / RÉGIE VIDÉO & SON : Stéphane Comon / CONSTRUCTION : Nicolas Forge




Des PDG de France Télécom viennent, après de longues années de procès, d’être reconnus coupables de harcèlement moral ayant provoqué une vague de suicides d’employés dans l’entreprise. Le spectacle L’entrée en résistance qui a lieu en ce moment au théâtre de la Reine Blanche rassemble un artiste comédien metteur en scène Jean-Pierre BODIN, une musicienne Alexandrine BRISSON et un chercheur Christophe DEJOURS qui ont décidé d’entrer en résistance contre cette catastrophe qui menace tous les individus la déshumanisation du monde de travail.
Travailler devrait être un bonheur et non synonyme d’esclavage.
Pour ma part, j’estime que le travail c’est comme le manger et le boire, c’est vital. Mais la notion de travail s’est tellement dévalorisée au profit de la notion de rentabilité, de productivité que nombre d’individus s’éprouvent condamnés à travailler pour vivre et enrichir leur entreprise sous le joug d’actionnaires qui ne s’intéressent nullement à la qualité du travail fourni. Si l’argent tombe dans la caisse tout va bien et cela seul compte.
Les managers et les directeurs des ressources humaines sont probablement dopés par leur sentiment de supériorité sur la masse salariale. Après tout, oui cela va de soi, une entreprise n’a pas de vocation humanitaire ou caritative.

Pour comprendre que la notion de rentabilité balaie toutes les valeurs d’épanouissement du travail, les initiateurs du projet de résistance ont effectué « un travail d’enquête et de collectage auprès de salariés, syndicalistes, juristes, médecins du travail, chercheurs, et de forestiers qui nous ouvrent les portes de leur bureau magnifique : la forêt ».Le spectacle débute par le témoignage d’un garde forestier heureux de transmettre une forêt en bonne santé et d’effectuer un « un travail vivant » Il n’y a pas un arbuste ou une broussaille qui ne retienne son attention car il considère que chaque végétal possède son intelligence. Mais de telles considérations n’ont plus de sens face à un manager qui ordonne de doubler le cubage et qui assène qu’une machine remplace 10 hommes.
A l’hôpital, c’est encore la rentabilité qui a le maître mot et qui met à mal le serment d’Hippocrate. Pour que le service ne ferme pas, seul mot d’ordre, le chiffre.

Des cadres témoignent qu’ils apportent leur concours à des actes qu’ils réprouvent et qu’ils en souffrent. Mais d’autres obéissent avec ces arguments « Moi je suis trop bête, je fais ce qu’on me dit ».

Christophe DEJOURS
a une explication. Il parle d’abolition de la pensée. Cette faculté d’arrêter la pensée est dénommée l’acrasie, synonyme de faiblesse de la volonté.
Il est possible aussi de se référer au « Sauve qui peut » à cet instinct du moi d’abord et après moi le déluge.
Réfléchir demande du temps mais ce n’est pas du luxe. Dans quel monde avons-nous envie de vivre ? Quand on pense que le travail en société occupe la majeure partie d’une vie humaine, il importe d’écouter les témoignages trop nombreux de ceux pour qui le travail a été ou est encore synonyme de souffrance ou même de désespoir.

Sous la forme d’une conférence spectacle musical, ce trio original, main de velours dans un gant de fer, appelle une chaleureuse entrée en résistance de l’individu au cœur de la forêt humaine !

Paris, le 22 Décembre 2019

Théâtre La Reine Blanche — Scène des Arts et des Sciences. 2 bis passage Ruelle, 75018 Paris
du 27 novembre au 05 janvier 2020, du mercredi au samedi à 20h45, dimanche : 16h
Relâches les 25 décembre & 1er janvier
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TOUTES LES CHOSES GÉNIALES


Texte créé par Duncan Macmillan, auteur et Jonny Donahoe, acteur.
Jeu : Didier Cousin / Mise en scène : Arnaud Anckaert.




Le sujet de la pièce de Duncan MACMILLAN, la dépression d’un proche, à laquelle s’est trouvé confronté un enfant, est grave. Comment formuler la mélancolie, la tristesse que peut nous renvoyer le comportement d’un parent. L’auteur donne la parole à un homme anonyme qui se confie sur son parcours du plus jeune âge à l’âge adulte.
Comment l’enfant qui a assisté à l’hospitalisation de sa mère après une tentative de suicide peut-il réagir ? Un homme se confesse, raconte comment la mort lui est apparue, brutale à travers celle de son chien. Sachant que sa propre mère voulait mourir, il n’a eu de cesse de combattre cette angoisse parce qu’il aimait la vie.
Elles sont là devant soi ces choses de la vie qui, à tout moment, impromptues et passagères comme des pensées, des fugaces émotions, des surprises, sont susceptibles de vous faire sourire, rire, chanter, voyager, taper sur l’épaule de votre voisin « Vous avez vu ça ! ».
L’enfant sent que tous ses petits bonheurs enfantins, légers, innocents, volatiles, étranges, farfelus, si personnels, peuvent lui échapper, disparaître. Alors, il les note sur une liste qui finit par grossir à vue d’œil.
Une véritable armée de post-it de bons souvenirs qu’il collectionne et se met à inscrire un peu partout à l’intérieur de la boite de corn flakes, sous le couvercle d’un pot de confitures, etc. Ces post-it sont destinés à dérider sa mère dépressive, à lui offrir quelques bulles de bonne humeur, en silence, sans la forcer.
Cette liste débutée dans l’enfance, il l’oubliera puis la retrouvera à l’âge adulte, elle tracera sa route comme les petits cailloux étincelants semés sur son chemin par un Petit Poucet.
Toute la force du conte de Perrault irrigue cette pièce. Par analogie s’y exprime diffus, le sentiment d’abandon de l’enfant par ses parents, son désir d’indépendance, d’affranchissement, de découverte, son espoir de redonner le bonheur à a sa famille.
Mais L’homme anonyme ne revêtira pas de bottes de sept lieues. Il continuera à butiner comme une abeille les multiples bonheurs à sa portée, qui conversent de tout et de rien, qui soulèvent des émotions infinitésimales, particulières ou banales, incongrues, familières.
C’est cette familiarité avec les choses que l’homme cultive sans violence. Parce qu’il a intériorisé le silence de ses parents et qu’il le respecte, l’enfant a multiplié les tentatives d’approche par l’intermédiaire de petites pensées, des offrandes innocentes, spontanées, extraordinaires à ses yeux.
Elle ne peut que grossir cette montagne de petits plaisirs pour faire face au sentiment d’impuissance de l’enfant confronté au malheur.

Dans le spectacle le comédien Didier COUSIN, remarquable, dirigé par Arnaud ANCKAERT, distribue quelques rôles aux spectateurs installés en cercle et les convie à lire à haute voix certains messages. C’est à travers des lèvres inconnues qu’ils s’échappent dans l’espace. Une façon de les faire éclore, d’évoquer leur manège intime. Sans doute parce qu’il y a des choses qui ne peuvent être dites qu’à travers des mots glissés sous la porte qui attendraient l’éblouissement d’un rayon de soleil ou simplement que quelqu’un les lise. Quel privilège que celui de la lecture d’ouvrir un champ de liberté quand les mots vous dévisagent un peu de la même façon que tout objet familier par sa seule présence.
Chaque message constitue une petite bouteille à la mer. Il peut échoir entre n’importe quelle main inconnue. De l’inconnu au familier tout le chemin est là, celui d’une vie, celui d’un spectacle, où le spectateur complice suit le parcours d’un curieux collectionneur, participe au concert d’une myriade de petites choses géniales.
Un concert orchestré par un enfant devenu adulte qui agite sa baguette magique de récolteur de bonheurs sinon pour effacer le malheur, lui résister de bonne guerre.

Théâtre la Reine Blanche 2 bis, passage Ruelle 75018 Paris.
Du mardi 19 novembre au samedi 28 décembre Mardi, jeudi, samedi à 19h Durée : 1h

Tournée 2020 :
23 janvier 2020 : Culture Commune - Scène Nationale du bassin minier, Loos-en-Gohelle (62).
9 au 12 avril 2020 : Le Bellovidère, Beauvoir (89).
25 avril 2020 : Communauté de Commune Osartis-Marquion, Quéant (62).
29 mai 2020 : Le Fil et la Guinde, Wambrechies (59).
5 juin 2020 : Festival Traverse, Festival Itinérant des Arts de la Parole du Haut Val de Sèvre, Azay-le-Brûlé (79).
Août 2020 : Festival l’été de Vaour, Vaour (81).







PAR : Evelyne Trân
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5e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
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